Vous qui vous déclarez chrétien, réalisez-vous que vous portez de ce fait le nom du Christ ? En avez-vous le droit ? Ou bien, au contraire, êtes-vous un de ceux auxquels le Seigneur Jésus–Christ devra dire un jour :
Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, Matthieu 7 : 23.
Il ne suffit pas, pour être chrétien, de figurer sur le registre de baptême d’une église. Ce ne sont pas ces livres-là qui seront consultés au grand jour du jugement lorsque Dieu fera comparaître tous les hommes devant lui pour qu’ils lui rendent des comptes. Pour vous permettre de porter votre nom de famille, il a fallu qu’à votre naissance l’état civil enregistre votre filiation. La Bible nous apprend que, pour nous faire entrer dans la famille de Dieu, une nouvelle « naissance » est nécessaire. A cette condition seulement notre nom pourra figurer dans le Livre de vie, cet « état civil du ciel » où Dieu inscrit ceux qui ont cru en son Fils et l’ont accepté comme Sauveur personnel. Ceux-là ont le droit d’être enfants de Dieu, Jean 1. 12.
Vous avez bien lu, c’est un droit ; il est fondé sur l’œuvre de Christ et non sur nos mérites. On n’est pas chrétien parce qu’on est meilleur ou plus religieux que d’autres, mais parce qu’il existe entre le Seigneur Jésus et nous une relation qui entraîne naturellement des conséquences dans notre vie.
Ce fut à Antioche premièrement que les disciples furent nommés chrétiens, Actes 11 : 26.
Réjouissez-vous parce que vos noms sont écrits dans les cieux, Luc 10 : 20.