La reine Victoria venait d'assister à un service religieux dans la cathédrale Saint Paul à Londres. Après la prédication qu’elle avait suivie avec beaucoup d’attention, elle demanda à son aumônier si l’on pouvait être sûr d’être sauvé. L’homme lui répondit qu’il ne pouvait en aucune manière lui donner une telle certitude.
Cet entretien fut publié dans « Les Nouvelles de la Cour » et John Townsend, un évangéliste, en eut connaissance. Il envoya à la reine la lettre suivante :
« À sa majesté, notre bien-aimée Reine Victoria,
persuadé que nous pouvons avoir la certitude de la vie éternelle, d’une main tremblante, mais avec un cœur rempli d’amour, j’aimerais prier Sa Majesté de lire les portions suivantes des Écritures :Jean 3 : 16 et Romains 10 : 9. Ces passages montrent qu’il y a une pleine certitude du salut pour ceux qui croient au Seigneur Jésus et à son œuvre ».
Quinze jours plus tard, il reçut la réponse suivante :
« John Townsend,
J’ai bien reçu votre lettre et j’ai lu soigneusement les passages indiqués. Je crois à l’œuvre de Christ accomplie pour moi et j’ai confiance que, par la grâce de Dieu, je vous rencontrerai un jour dans la Maison du Père, là où le Seigneur est allé nous préparer une place. Victoria Guelph. »
Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle, Jean 3 : 16.
Situ confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé, Romains 10 : 9.