J’ai eu le privilège d’avoir des parents chrétiens pratiquants ; mais on ne naît pas chrétien, on le devient seulement par la repentance et la foi personnelle en Jésus-Christ, le Sauveur. Je me rappelle très bien que je me trouvais face à un choix capital : accepter ou ne pas accepter mon Sauveur. Recevoir ou ne pas recevoir le Christ vivant, dans ma vie. Mais un jour béni, vers mes 13 ans, poussé par la grâce divine, simplement mais très sérieusement, j’ai écrit une petite lettre à ma chère maman. Je ne me souviens plus des détails mais je me rappelle bien le point central, que je résume ainsi :
« Maintenant, je crois que Jésus-Christ est mon Seigneur et mon Maître et je l’accepte dans ma vie. »
Aujourd’hui encore je ne doute pas que ce fut le point de départ d’une vie nouvelle ; d’autant plus que le Christ désormais en moi commença à me transformer et les changements étaient visibles à la maison et à l’école. Non seulement la conversion d’un enfant est possible mais l’enfant est, par son humilité, sa confiance et sa foi, un exemple à suivre selon le Seigneur lui-même, qui a dit :
Si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux, Matthieu 18 : 3.