A l’entrée d’un cimetière de village, une inscription latine s’impose aux regards des visiteurs : Domus expectantium, c’est-à-dire : La maison de ceux qui attendent.
Qu’attendent donc ces corps déposés dans les tombes ? Le jour de la résurrection.
Pour les croyants, ce jour-là est le jour où le Seigneur viendra les enlever tous de cette terre.
Le Seigneur lui-même descendra du ciel et les morts en Christ ressusciteront premièrement, puis nous, les croyants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur, dans les airs; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur,1Thessaloniciens 4 : 14-17.
Le passage est si clair qu’il dispense de commentaire. Nous attendons d’un moment à l’autre son accomplissement.
Mais, en ce jour-là, les corps des non-croyants resteront dans la terre. Ils ressusciteront plus tard, après le règne millénaire de Christ, pour comparaître devant le grand trône du jugement final. Là, ils entendront, de la bouche même de Celui qu’ils n’ont pas voulu accepter comme Sauveur, leur terrible sentence : tourments éternels.
C’est sur la terre que Christ a réglé la question de nos péchés et c’est sur la terre seulement que le pécheur peut obtenir le pardon de Dieu. « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé », Actes 16 :31.
Le Fils de l’homme (Jésus) a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés, Luc 5 : 24.
Mon âme attend le Seigneur, plus que les sentinelles n’attendent le matin, Psaumes 130 : 6