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Une publicité récemment apparue dans nos rues sur les panneaux d’affichage affirme : « Plus la science avance, plus elle donne raison à la nature ». C’est vrai, et les gens prennent de plus en plus conscience de la nécessité de la préserver en respectant ses lois. Scientifiques, hommes politiques, associations diverses s’emploient à alerter l’opinion et les pouvoirs publics pour s’opposer à beaucoup d’actions lucratives qui la mettent en péril. On peut convaincre à coup d’arguments, d’informations médiatisées, de manifestations publiques, que « la nature a raison ».
C’est juste, mais pourquoi s’arrêter là ? Parler ainsi, c’est reconnaître que la nature a en elle une sagesse qui nous dépasse infiniment.
La simple vérité, c’est que la nature contient toutes les richesses que son Créateur lui a données. Elle en est la démonstration irrécusable. Lui-même déclare :
Toute ces choses, ma main les a faites, et toutes ces choses ont été, dit l’Eternel, Essaie 66 : 2.
Mais dire que la nature a raison et admirer la sagesse insondable qui se trouve en elle, sans reconnaître son créateur, c’est en fait la diviniser comme l’ont fait des peuples anciens, sous forme de multiples idoles. C’est honorer la créature plutôt que celui qui l’a créée, Romains 1 : 25.
Qu’est-ce donc qui retient tant de personnes de reconnaître Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, sinon la crainte de la rencontrer comme juge ?
Oh ! Si vous vous tournez vers lui, vous le rencontrerez comme le Dieu Sauveur, bien plus grand encore que la nature ne le révèle, car il est amour.
La nature même ne vous enseigne-t-elle pas ?1 Corinthiens 11 : 14.
Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue annonce l’ouvrage de ses mains. Psaumes 19 : 1.
Tournez-vous vers moi, et soyez sauvés, vous, tous les bouts de la terre ; car moi, je suis Dieu, et n’y en a pas d’autre, Esaïe 45 : 22.