Une pauvre femme vivait dans la capitale d’un pays au nord de l’Europe, non loin du palais royal. Sa fille gravement malade désirait ardemment un peu de raisins, mais comment en trouver en magasin à cette époque de l’année ? La mère se souvint tout à coup qu’elle avait vu, en traversant le parc du palais ouvert à tous, de magnifiques grappes de raisins dans les serres chauffées. S’armant de courage, elle alla trouver le jardinier en chef pour lui demander de lui en vendre une ou deux grappes. Elle se heurta à un refus catégorique.
— Vous êtes folle, lui dit le jardinier. Le roi n’est pas un marchand !
La pauvre femme s’en allait fort déçue quand un homme, qui avait tout entendu, s’approcha d’elle.
— Le jardinier a raison, dit-il. Mon père, qui est le roi, n’est pas un marchand. Mais s’il ne vend pas son raisin, il peut en donner !
Sur ces paroles, il choisit plusieurs belles grappes qu’il plaça dans le panier de la pauvre mère tout émue et reconnaissante.
Combien y en a-t-il qui désirent acheter le salut, pas seulement avec de l’argent, mais par leurs efforts, leurs mérites ou leurs prières ? Ils ne comprennent pas que le salut de Dieu est gratuit. Le Roi des rois ne vend rien à personne. D’ailleurs, quel prix pourrions-nous payer ?
Le salaire du péché, c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur, Romains 6 : 23.
Vous avez été rachetés […] non par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache, 1 Pierre 1 : 18-20.
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