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Description

Le prince de Bismarck, l’un des principaux artisans de la puissance de l’Allemagne, jugeait ainsi sa propre œuvre à la fin de sa vie : « Je n’ai rendu personne heureux, ni moi, ni les miens, ni qui que ce soit. Par contre, combien n’ai-je pas fait de malheureux ? Sans moi, trois grandes guerres n’auraient pas eu lieu. Quatre-vingt mille hommes n’auraient pas péri. Leurs parents, leurs femmes, leurs enfants n’auraient pas été plongés dans le chagrin et le deuil. Quoique j’aie réglé cette question devant Dieu, il me reste le regret d’avoir derrière moi, à côté du peu de joie que m’ont procuré mes succès, toute une vie de soucis, de contrariétés et de peines ».
Cette confession peut paraître surprenante dans la bouche d’un homme couvert d’honneurs. Pendant ses trente-six ans d’activités politiques, il s’était consacré tout entier à la grandeur de la Prusse et à l’unité allemande. Arrivé à la fin de sa vie, il découvre avec tristesse les résultats décevants de son œuvre.
Mais faut-il donc attendre la fin de son existence pour s’apercevoir de sa faillite ? Quand Saul de Tarse a rencontré Jésus sur le chemin de Damas, il a découvert que tout ce qu’il recherchait jusqu’alors n’avait aucune valeur et n’était qu’une perte (Philippiens 3 : 7).

Ne travaillons pas pour ce qui périt, mais pour ce qui demeure jusqu’en la vie éternelle, Jean 6 : 27.

Prenons contact avec Jésus-Christ ; il remettra de l’ordre dans nos vies pour notre bonheur éternel.
Ne vous amassez pas des trésors sur la terre […] mais amassez-vous des trésors dans le ciel.
Nul ne peut servir deux maîtres, vous ne pouvez servir Dieu et Mamon (les richesses), Matthieu 6 : 19-20, 24.