Aux États-Unis, vers 1850, une dame toujours soucieuse et triste parlait à sa servante noire qui, elle, était toujours sereine et enjouée :
— C’est bien d’être joyeuse. Il me semble pourtant que la question de votre avenir devrait atténuer un peu votre joie. Supposons que vous tombiez malade, supposons que vos employeurs déménagent et que personne ne vous donne du travail… supposons que…
— Moi je ne suppose jamais rien, Madame, s’écria la servante.
Le Seigneur est mon berger. Moi, je ne manquerai de rien.
Tous ces « supposons » vous rendent si triste. Vous devriez les laisser là et avoir confiance dans le Seigneur. Et dire que cette patronne se disait croyante. Mais c’était sa servante qui avait la vraie foi.
Fondés sur les promesses de la Bible et sur l’œuvre accomplie par Jésus-Christ en leur faveur, les chrétiens véritables peuvent dire :
Je sais […], j’ai l’assurance […], je suis persuadé […]. J’ai la certitude […] Romains 8 : 38.