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Description

Pendant la désastreuse retraite de 1813-1814, en plein cœur de l'hiver, alors qu'il était presque impossible de garder un uniforme quelconque en bon état, un général se présenta à Napoléon, un matin, en grande tenue et rasé de près. Le voyant en pleine débâcle, aussi soigné que s'il allait à une revue militaire, l'empereur lui dit :« Général, vous êtes un brave ! »
Pourtant, c'était la débandade, une vraie déroute. Ne pas céder à la panique, aussi frais et dispo qu'aux beaux jours, devant l'Empereur, c'était un signe de bravoure.
Quelles qu'aient pu être les circonstances, Paul pouvait écrire :
Nous ne perdons pas courage, 2 Corinthiens 4 : 1 et 16, parce qu'il avait en lui l'esprit de foi v. 13. Rempli d'espérance, il voyait déjà la gloire à venir.

Nous-mêmes, regardons à Christ, et ne perdons pas courage !