Comme beaucoup d’entre vous j’imagine, j’ai découvert le travail d’Aïda Bruyère lors de la 64e édition du Salon de Montrouge, il y a deux ans. Cette année-là, Aïda avait d’ailleurs remporté le Grand prix du salon pour une œuvre terriblement grisante dont on a évidemment longuement parlé lors de cet épisode ! Depuis son travail m’est restée en tête sans que j’ai l’occasion de la recroiser. Je suis donc ravie qu’elle ait accepté d’être mon invitée cette semaine.
Et comme promis, voici les références d'Aïda pour approfondir les concepts d'afroféminisme et aller encore plus loin dans nos processus de déconstruction :
- Un féminisme décolonial par Françoise Vergès
- Initiales n°13 - Initiales JB
- Le racisme est un problème de blanc par Reni Eddo-Lodge
- Beyoncé est-elle féministe ? par Margaux Collet/Raphaëlle Rémy-Lelou
- Post Butt, the power of images par Melani De Luca
- L'impérialisme postcolonial, critique de la société des éblouissements
par Joseph Tonda
- La guerre des fesses par Jean-Claude Kaufmann
- Entre violence, sexualité et luttes sociales, le destin paradoxal du dancehall
par Loïc Marie-Magdeleine
- Canal Zone Richard Prinve, yes rasta 2 par Greg Allen
- King Kong Theorie par Virginie Despentes
- Inna di Dancehall: Popular Culture and Politics of Identity in Jamaica
par Donna P. Hope
- Stylish moves vol.2 par Latonya Style
- Talking Back : thinking feminist, thinking black par bell hooks
- The Combahee River Collective Statement par The Combahee River Collective
- Americanah par Chimamanda Ngozi Adichie
- Nous sommes tous des féministes par Chimamanda Ngozi Adichie
- Praising Twerk : Why Aren't We All Shaking Our Butt? par Lucille Toth
- An Argument For Black Women's Liberation As a Revolutionary Force
Mary Ann Weathers
- Ain't I a Woman : Black Women and Feminism par Bell Hooks
- Bruk out! A dancehall Queen Documentary par Cori McKenna
(https://www.brukoutmovie.com/)
Et puis vous avez aussi des podcast :
Piment
Kiffe ta race
Le Tchip
The Why
Afrotopiques
Et puis comme d'habitude : un immense merci à David Walters d'accepter que j'utilise son morceau «Mama» pour le générique !