Sarah Trouche privilégie des endroits où la mondialisation est un échec, où elle est productrice de frictions, si ce n’est d'oppressions. J’aime à penser que c’est une sorte de médiatrice si ce n’est de guérisseuse. Au fil de ses résidences, elle se plonge dans l’histoire d’un lieu et dans celle de ses habitants. Cette histoire devient alors son matériau de travail. Pour mettre en lumière ces angles morts, elle se met à nu. Son corps devient un étendard qui porte les maux des autres qu'iels soient originaires de Macédoine, du Japon ou encore de certains milieux ruraux français.
Site & instagram de Sarah :
https://www.instagram.com/sarah.trouche/
https://www.instagram.com/winterstory_in_a_wildjungle/
https://www.sarahtrouche.com/
https://galeriemargueritemilin.com/2018/12/10/sarah-trouche/
Et aussi un grand merci à David Walters d’avoir accepté que j'utilise sa musique pour le générique.
Découvrir David Walters : www.youtube.com/channel/UCbb_I--18crGWl6YkRnZyyw