Dans ce 3ème podcast de DECHARGE, je reçois Estelle, étudiante et membre du Collectif Femmes* Valais, entre autres.
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Estelle et moi on partage pas mal de points communs. Des études en sciences sociales, des racines valaisannes, mais aussi un intérêt pour les questions féministes. Par contre, ça ne se manifeste pas de la même manière. Estelle n’a pas peur de se lancer dans des actions. Cette dernière année, elle l’a passée avec d’autres femmes à organiser la grève féministe du 14 juin, en Valais. On leur avait dit que ce n’était pas forcément des mots qui passaient dans le canton et pourtant, 12'000 personnes ont manifesté dans les rues de Sion. Mais si l’engagement paie, il a aussi des coûts...
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Dans cet épisode, Estelle revient sur ses études à l’université, où elle a commencé à questionner le fonctionnement de la société et ses inégalités (1’15’’). Elle parle de son besoin de déconstruire les différences genrées et binaires (6’35’’). On discute aussi des injonctions à la « pureté militante » (10’42’’). Estelle raconte aussi comment son engagement au sein du Collectif de la grève féministe en Valais a répondu à son besoin d’action (13’38’’), mais aussi la difficulté à mettre des distances quand l’engagement pénètre tous les aspects de la vie (19’30’’). Elle explique sa confrontation avec d’autres avis au sein d’un collectif (30’45’’) et les changements dans son rapport aux autres (34’41’’).
BONNE ECOUTE !
Sarah
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La vignette a été modifiée à partir de la vidéo réalisée par Dagobert Eigelsreiter pour le Collectif Femmes* Valais, disponible ici : https://www.facebook.com/collectifemmesvalais/videos/945407909128945/
