Cet été, pendant quelques semaines en attendant la rentrée, je vous propose des entretiens un peu particuliers, comme des hors série d’été, exclusifs, autour d’un thème souvent primordial pour les artistes que je reçois habituellement : ce qui se cache derrière leurs oeuvres. Une espèce de petit atelier où avec mon invité, on parle de tout ce qui gravite autour des livres, des films, des albums qu’il créé. Comment son oeuvre se construit, quelles sont ses habitudes de travail, qu’est-ce que représente son art, au quotidien, autant de questions qui vont tranquillement nous laisser entrevoir les coulisses de ceux et de celles qu’on a l’habitude de voir, d’entendre, de lire, et dont, au fond, les contours restent parfois un peu mystérieux. Et cette semaine, c’est avec l’écrivain Florent Oiseau que j’ai discuté. Nous nous sommes rejoints dans l’un de ces bars de quartier qui illustrent l’univers qu’il s’est créé au fil de ses trois romans : "Je vais m’y mettre", "Paris-Venise", et son dernier, "Les Magnolias", tous publiés aux éditions Allary. Entre humour et mélancolie, entre héros du quotidien et histoires laissées sur le bas côté, Florent s’est créé ce que l’on a tendance à appeler un véritable univers, dont nous avons parlé, mais pas que. Car oui, avec Florent Oiseau, nous avons parlé de son rapport à l’écriture, non essentielle pour lui, de la manière dont les titres de ses livres sont réfléchis, ou encore des auteurs contemporains qu’il a lu, aimé, et conseillé. Bonne écoute !
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