Et si il n’y avait rien à faire ? 🤔
Il y a quelques jours, alors que je m’installe pour une méditation analytique, je tombe sur ces mots dans mon carnet de pratique : « Et si il n’y avait rien à faire ? » 👇
Souvent, je sens ce décalage qui semble exister entre notre nature, vibrante, profonde, absolue, et infinie qui nous appelle à elle-même, et le jeu dans lequel nous évoluons. Ce jeu de besoins, d’attentes, de souffrances, non entendues, non apprivoisées.
Ce jeu d’actions impulsives, étourdissantes, comme des distractions qui s’enchaînent pour ne pas voir ce qu’il y a au fond de nous, pour ne pas se confronter à ce que l’on pense être un grand vide. 🫥
Lorsque je parle d’Amour, on me parle souvent d’action. 💙
On me demande, en pratique, concrètement, le choix que l’on doit faire, l’option que l’on doit prendre, la décision alignée qui nous fera ressentir, enfin, ce que l’on cherche à ressentir, désespérément, au fond de nous, sans en avoir conscience.
🌱 Et s’il n’y avait rien à faire ?
🌱 Et si l’action n’était pas la clé ?
Dans ce nouvel épisode, j’explore la place de l’action, et de la non action.
💫 Agir, est-ce toujours la meilleure chose à faire ?
💫 Doit-on opposer faire et être ?
💫 Comment prendre les décisions justes, et faire les choix alignés ?
Belle découverte de cette nouvelle transmission du ❤️
