Ce matin, Isabelle Bérubé aborde un sujet qui touche bien des gens : la fatigue climatique. Entre les rapports alarmants, les changements à faire au quotidien et les efforts constants qu’on nous demande, il est normal de se sentir dépassé… même quand on veut bien faire.
Dans cette chronique, elle s’intéresse plus particulièrement aux résistances liées à l’auto électrique. Pourquoi est-ce si difficile pour certains de passer à l’action, même avec la meilleure volonté du monde? L’habitude, les inquiétudes liées à l’autonomie, les coûts initiaux, et parfois simplement la peur du changement freinent encore plusieurs citoyens.
Isabelle propose un regard bienveillant mais lucide : il ne suffit pas de dire aux gens quoi faire, il faut comprendre leurs blocages et les accompagner autrement. L’urgence climatique est réelle, mais la transition ne se fera pas sans empathie ni nuances.
Bref, une chronique qui fait du bien, qui déculpabilise… tout en nous donnant envie d’avancer, un petit geste à la fois.
