Ce soir sur SUN, Cubop sous les étoiles fête son centième voyage musical.Deux heures de célébration et de partage, portées par des voix complices et vibrantes, celles des chroniqueurs de SUN Cholet.
Depuis deux ans et demi, au fil des semaines, Laurent parcourt avec vous les chemins chaloupés du jazz tropical, les pulsations de l'âme afro-cubaine, les effluves de cumbia et les éclats de salsa dura.
Ce soir, la fête est belle, intense et pleine de souvenirs.
Lauryne ouvre cette odyssée par une parenthèse cinématographique raffinée, entre Simon Bolzinger (Bolero prestissimo) et Gato Barbieri (Last Tango in Paris).
Erwan nous entraîne sur la route, entre Jamaïque (Roots, Rock, Reggae) et Cuba (De Camino a La Vereda).
Joël fait battre les cœurs au rythme brûlant des cuivres africains de Manu Dibango (Cosita Linda, Carnaval).
Pierre fait résonner la calle avec la salsa vibrante de Willie Colón (Calle Luna Calle Sol) et Henry Fiol (Ahora me da pena).
Sébastien tisse les ponts, entre cumbia marine (Cumbia Sobre el Mar) et grooves chaleureux de Setenta (Sa Ki taw).
Dans la seconde partie, qui offre une carte blanche aux chroniqueurs du soir :
Lauryne éclaire l'écran de nos imaginaires avec des musiques latines de films. (The Floating Bed et Las Damas Que Pasan).
Erwan fait danser les standards du rock sous le soleil latin (You really Got Me et Perhaps, Perhaps, Perhaps) .
Joël nous invite à une escale au Mexique avec le groupe de rock latino, Maná (Dejame Entrar et Antifaz).
Pierre fait souffler un vent urbain aux sonorités latines (Tarantos et Mic Up).Enfin, Sébastien nous guide jusqu'à la piste de danse, pour conclure cette nuit étoilée dans une explosion de rythmes avec Palomo et Darling.
Un grand merci à vous, auditeurs fidèles, rêveurs et danseurs de l'ombre, et à tous ceux qui font vibrer Cubop sous les étoiles, soir après soir.
Pour conclure cette centième étoile, un clin d’œil à Uzeste, ce village gascon où souffle l’esprit libre de la musique.Deux figures lumineuses croisées là-bas à de nombreuses reprises :Eddy Louiss, au groove tendre et velouté (Célestin),et Bernard Lubat, poète musical enraciné (D’ici, d’en bas).
Deux morceaux comme deux éclats dans la nuit…Pour dire merci. Et laisser la fête résonner un peu plus longtemps.