Soyons franc, on écrit je me souviens sur nos plaques d’immatriculations, mais j’ai l’impression qu’on a trop souvent tendance à oublier. Des erreurs de jugement du gouvernement, le silence des ordres professionnelles, les dérapes d’organismes indépendants mandatés de nous protéger, des régimes dictatoriaux érigé sous le prétexte du bien commun. Entre vous et moi, historiquement, c’est pas comme si c’était jamais arrivé. Il est temps d’ouvrir le débat et d’analyser les répercussions sociales, économiques, politiques et sanitaires de nos décisions. Sinon on risque une cure qui causera plus de tord que le virus.