Un peu comme les enfants qui rejouent les blockbusters dans leurs chambres avec les moyens du bord, les transcriptions de grands airs d’opéra passent pour des répliques ludiques et périphériques des spectacles d’opéra, au mieux des produits dérivés des grandes institutions lyriques. Pourtant, à regarder le nombre de partitions en circulation au 18è siècle qui …