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Opération Cigale


Opération Cigale (0)


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Paris, 2025. Sous l'œil glacial des drones de surveillance et la dictature du 'Score de Citoyenneté', la France s'apprête à marquer l'Histoire en reconnaissant la Palestine. Julien Dubois, journaliste d'investigation que le régime a presque brisé, pense n'assister qu'à une manœuvre diplomatique.


Mais un message codé le lance sur la piste d'un secret d'État explosif : l'Opération Cigale. Une vérité enfouie depuis trente ans qui lie le charismatique artisan de la paix, le diplomate Alain de Vigny, aux origines mêmes du Hamas.


Classé 'Élément Perturbateur', traqué par un État prêt à tout pour protéger son secret, Julien s'enfonce dans une spirale paranoïaque où chaque source est un danger et chaque vérité un piège. Publier, c'est risquer de torpiller la paix et de déclencher le chaos. Se taire, c'est se rendre complice d'un mensonge monstrueux.


Jusqu'où peut-on aller au nom de la vérité ? Et si la vérité elle-même n'était que l'arme d'une vengeance implacable ? Découvrez 'Opération Cigale', un thriller haletant dans les coulisses du pouvoir, où la seule certitude est que personne n'est innocent.



Alors qu'il couvre la reconnaissance historique de la Palestine par la France, un journaliste chevronné découvre que le diplomate français à la tête de l'initiative a joué un rôle secret dans la montée du Hamas des décennies plus tôt, une vérité qui pourrait à la fois torpiller les efforts de paix et lui coûter la vie.



Un journaliste doit-il révéler une vérité explosive qui risque de déstabiliser un processus de paix fragile et de détruire des carrières, ou doit-il la taire au nom d'un "plus grand bien" incertain ?




Source:
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Les trois raisons de la reconnaissance de la Palestine par la France
Les trois raisons de la reconnaissance de la Palestine par la France
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Pour certains ça ne va pas assez loin, pour d’autres c’est un cadeau au Hamas : la reconnaissance de la Palestine par la France et une dizaine de pays aujourd’hui est d’abord une manière de dire « non » à l’éradication des Palestiniens de leurs terres, à Gaza comme en Cisjordanie. Explications.

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Les trois raisons de la reconnaissance de la Palestine par la France
Les trois raisons de la reconnaissance de la Palestine par la France
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Pour certains ça ne va pas assez loin, pour d’autres c’est un cadeau au Hamas : la reconnaissance de la Palestine par la France et une dizaine de pays aujourd’hui est d’abord une manière de dire « non » à l’éradication des Palestiniens de leurs terres, à Gaza comme en Cisjordanie. Explications.

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La Grande Matinale sur France Inter. Géopolitique, bonjour Pierre. Bonjour Nicolas. Pierre, vous revenez sur la reconnaissance de l'État de Palestine par la France aujourd'hui. Pour certains, le geste ne va pas assez loin, il n'arrêtera pas immédiatement la tragédie des Palestiniens à Gaza et devrait s'accompagner de sanctions contre Israël. Pour d'autres, au contraire, il est scandaleux car il récompense le Hamas qui détient encore des otages, il serait même teinté d'antisémitisme. Entre ces deux positions extrêmes, il y a le réel qui tient en trois points. Premièrement, la solution des deux États est la position traditionnelle de la communauté internationale depuis longtemps, celle de la France depuis que François Mitterran a demandé un État palestinien dans son discours historique à la Knesset à Jérusalem en 1982, il y a plus de 40 ans. Rien n'a été fait en ce sens depuis l'échec des accords d'Oslo, il y a un quart de siècle, mais ce n'est pas une surprise que Paris soutienne le principe des deux États, la seule solution raisonnable malgré la difficulté de la mettre en œuvre. Deuxièmement, reconnaître l'État palestinien dans le cadre de la solution des deux États n'est pas un soutien au Hamas qui ne veut pas des deux États. Le Hamas, comme les suprémacistes israéliens d'ailleurs, est pour un seul État de la Méditerranée au Jourdain, or cette accusation lourde persiste. Et pourquoi cette accusation ? Après le massacre du 7 octobre, le Hamas est le meilleur moyen de discréditer toute tentative de solution de paix. C'est mais or c'est méconnaître l'histoire. J'ai vécu comme correspondant à Jérusalem la période des accords d'Oslo, quand le Hamas a repris ses attentats suicides pour faire échouer cette tentative de compromis historique et quand il a fait élire Benjamin Netanyahu en 1996 contre Shimon Perez qui avait repris le flambeau d'Itzhak Rabin. Les attentats du Hamas ont fait basculer une partie de l'opinion vers Netanyahu, qui de son côté a favorisé l'émergence du Hamas à Gaza pour mieux diviser les Palestiniens. Tout cela est documenté, factuel. Alors les deux États et le Hamas, c'est contradictoire. Troisième point, Emmanuel Macron a choisi de lancer son initiative avec l'Arabie Saoudite, qui aboutit aujourd'hui au siège des Nations Unies, à un moment décisif. L'offensive israélienne à Gaza et les projets de colonisation en Cisjordanie sont en train de donner le coup de grâce à toute aspiration politique palestinienne, voire à toute présence palestinienne, si l'on écoute les plus extrémistes des ministres israéliens. Mais la reconnaissance ne suffira pas à les stopper. C'est un fait, Nicolas, mais au moins des pays importants comme la France, le Royaume-Uni ou le Canada disent tout eux, tout haut qu'ils ne peuvent pas accepter l'éradication des Palestiniens de cette terre et que la solution ne peut venir que d'un compromis. Si l'initiative franco-saoudienne s'arrête là, elle n'aura servi qu'à sauver l'honneur à un moment de déshonneur collectif. Le vrai défi est donc le jour d'après, dans un contexte où Israël et les États-Unis sont vent debout contre cette vision. La grande majorité des États du monde a approuvé l'initiative franco-saoudienne, mais c'est à Washington que se trouve la clé. Deux images en ce jour, l'une cet après-midi dans la tour de verre de l'ONU, l'autre sur les routes de l'exode à Gaza sous les bombes. La première a la fragilité de l'espoir, l'autre la fatalité du désespoir. À New York, un groupe de pays a au moins le mérite de dire tout haut, non à la loi du plus fort. Merci Pierre.
Les trois raisons de la reconnaissance de la Palestine par la France


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Story generated with: gemini-2.5-pro

Voice generated with: gemini-2.5-pro-preview-tts

Music generated with: lyria-002

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