
Dans un monde agité par les rivalités, laissez-vous transporter par le murmure d'une histoire apaisante. Découvrez le Jardin Ancien, un havre de paix où la vraie force ne réside pas dans la confrontation, mais dans la patience et la culture de ses propres racines. Suivez Silas, le sage gardien, alors qu'il fait face à une tempête menaçante, non par la force, mais par une sagesse ancestrale. Une fable poétique et relaxante pour trouver le calme intérieur et s'endormir sereinement, comprenant que la plus grande puissance est celle qui naît de l'harmonie et de l'autosuffisance. Préparez-vous à un voyage sensoriel au cœur de la résilience silencieuse.
The wise guardian of a vast, ancient garden, facing a tempest from a rival gardener, discovers that true strength lies not in confronting the storm, but in cultivating his own land's deep, resilient roots for ultimate self-sufficiency.
Does true power stem from dominating others in a global landscape, or from patiently nurturing one's own inner strength and achieving independence from external forces?
Xi Jinping, « empereur » d’une Chine qui se pose en leader du Sud Global
Xi Jinping, « empereur » d’une Chine qui se pose en leader du Sud Global
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au pouvoir depuis treize ans, Xi Jinping se pose en seul rival des États-Unis au 21ème siècle. Il l’a prouvé en 2025, notamment en forçant Donald Trump à reculer sur les droits de douane record qu’il avait imposés à la Chine. En 2026, il continuera à préparer la Chine à réduire ses dépendances.
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Xi Jinping, « empereur » d’une Chine qui se pose en leader du Sud Global
Xi Jinping, « empereur » d’une Chine qui se pose en leader du Sud Global
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au pouvoir depuis treize ans, Xi Jinping se pose en seul rival des États-Unis au 21ème siècle. Il l’a prouvé en 2025, notamment en forçant Donald Trump à reculer sur les droits de douane record qu’il avait imposés à la Chine. En 2026, il continuera à préparer la Chine à réduire ses dépendances.
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No. Le 6h9h. Listen anywhere. Sur France Inter. Bonjour Pierreski. Bonjour Simon. On poursuit votre bilan de 2025. Ce matin la Chine de Xiping. Dans sa résidence officielle de Chang Don Hai, adjacente à la cité interdite des empereurs chinois, Xiping peut-il douter de sa puissance ? Le numéro 1 du parti communiste chinois au pouvoir depuis déjà 13 ans, se pose en seul rival des États-Unis au 21e siècle et il l'a prouvé en 2025. Lorsque Donald Trump a lancé sa guerre des tarifs, il a tenté de faire plier la Chine en lui imposant des droits de douane de 145 %. Un record sur des échanges de plusieurs centaines de milliards de dollars par an. Mais rien ne s'est passé comme prévu. La Chine a riposté en décrétant un embargo sur les terres rares. Ces métaux précieux indispensables dans la fabrication de certains produits et en particulier dans l'armement. Or la Chine a bâti un quasi monopole dans le raffinage de ces métaux et très vite, les industriels aux États-Unis et en Europe ont sonné l'alarme. Contrairement à ce qu'il imaginait, Donald Trump a reculé le premier jusqu'à sa rencontre avec Xi Jinping en novembre en Corée du Sud qui a marqué une détente sans doute temporaire. Avec un président américain qui pense en rapport de force, Xi Jinping a prouvé qu'il avait du répondant. Et quel est son objectif ? Alors, il a montré tout au long de 2025 qu'il entend se poser en chef de file du sud global face à l'Empire Américain et à l'Occident en général. C'était le message du double sommet de septembre, celui de l'Organisation de coopération de Shanghai, une structure de sécurité dominée par la Chine, puis le défilé de l'anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale à Pékin. Les photos disaient tout. Xi Jinping entouré de Narendra Modi, le Premier ministre indien, furieux des droits de douane américains et devenu plus conciliant avec Pékin et de Vladimir Poutine, tout à fait fréquentable ici malgré l'Ukraine. Le lendemain au défilé, autre ambiance. Xi Jinping avait Poutine à sa droite et le leader nord-coréen Kim Jong Un à sa gauche. Trois puissances nucléaires totalitaires unis dans un front du refus à un monde américain. Qu'attendre du dirigeant chinois désormais en 2026 ? Alors, Xi Jinping a un double agenda l'an prochain, Simon. Le premier est intérieur. Dans cette période de forte turbulence, il a besoin d'un pays sous contrôle. Or l'économie chinoise est à la fois puissante à l'exportation avec des excédents records et elle souffre de la stagnation de la consommation intérieure, ce qui se traduit par un fort chômage. Le nouveau plan quinquennal chinois qui démarre en 2026, vise à réduire ce déséquilibre, mais surtout, et c'est l'autre priorité, à garantir l'indépendance de la Chine vis-à-vis des technologies occidentales. D'où des investissements massifs dans l'IA, les semi-conducteurs, les robots, les biotechnologies où la Chine avance vite. Géant économique, la Chine n'est toutefois pas encore une super puissance à part entière. Lorsque deux de ses amis ou clients, l'Iran et le Venezuela ont été la cible des Américains en 2025, Pékin n'a rien fait pour eux. Pour l'heure, la Chine engrange les bénéfices de l'agressivité de Donald Trump qui parvient à faire oublier la part d'ombre de Pékin sur les droits humains ou dans ses rapports de voisinage, ce n'est pas le moindre paradoxe d'un président américain bien peu stratège. Merci Pierre, à demain, 4e épisode. L'Europe. On parlera de l'Europe dans ce bilan géopolitique.
Xi Jinping, « empereur » d’une Chine qui se pose en leader du Sud Global
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