
Dans un monde où les voix de la colère cherchent à tout briser, comment préserver son havre de paix ? 'Le Bouclier de Quiétude' est une invitation au voyage intérieur, une histoire chuchotée pour apaiser votre esprit et vous guider vers le sommeil. Suivez les esprits de la nature qui, face à la fureur d'un Roi-Tonnerre, ne répondent ni par la force, ni par la peur, mais en tissant ensemble un bouclier de silence et d'harmonie. Laissez-vous bercer par ce conte métaphorique et découvrez que votre plus grande force réside dans le calme que vous cultivez. Une expérience ASMR unique pour transformer les tumultes du jour en une nuit sereine.
Quand un Roi-Tonnerre au cœur de pierre tente de briser l'harmonie d'un conseil d'esprits de la nature avec des paroles de colère, ceux-ci doivent redécouvrir la force de leur silence et l'unité de leur monde pour ne pas sombrer dans le chaos.
Comment la quiétude et la dignité peuvent-elles répondre à la fureur et à la division sans se perdre elles-mêmes ?
À l’ONU, Donald Trump proclame aux Européens qu’ils vont « en enfer »
À l’ONU, Donald Trump proclame aux Européens qu’ils vont « en enfer »
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dans son discours, le président américain a dénoncé les politiques d’immigration et climatiques des Européens, et a violemment critiqué l'ONU. Il a surtout montré qu’il n’y avait plus de leadership américain, juste une superpuissance qui suit les obsessions de son président.
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À l’ONU, Donald Trump proclame aux Européens qu’ils vont « en enfer »
À l’ONU, Donald Trump proclame aux Européens qu’ils vont « en enfer »
durée : 00:03:21 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Dans son discours, le président américain a dénoncé les politiques d’immigration et climatiques des Européens, et a violemment critiqué l'ONU. Il a surtout montré qu’il n’y avait plus de leadership américain, juste une superpuissance qui suit les obsessions de son président.
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géopolitique la grande matinale Sur France Inter. Pierre Assqui, bonjour. Bonjour Nicolas. Pierre, vous revenez sur le discours de Donald Trump à la tribune des Nations Unies. Il fut un temps où le président des États-Unis se faisait appeler le leader du monde libre. La planète entière épluchait son discours annuel à l'Assemblée générale des Nations Unies pour connaître les positions de la première puissance mondiale. C'est terminé. Aujourd'hui, on va écouter Donald Trump comme comme on va voir un comédien de stand-up pour le show et les punchline. Son discours d'une heure hier restera dans l'histoire comme l'un des plus extravagants dans une salle qui a pourtant vu Nikita Kruchov, le dirigeant soviétique, taper sur la table avec sa chaussure, ou Yasser Arafat brandir un rameau d'Olivier. Trump racontant comment il a perdu le contrat pour rénover en marbre l'immeuble des Nations Unies, ou la panne de prompteur hier, vaut tous les humoristes de la Terre. Il y avait la forme qui a beaucoup fait rire, mais il y avait aussi le fond beaucoup plus sinistre. Donald Trump a violemment déroulé son agenda climatosceptique, radicalement anti-immigration, sapant l'autorité de l'ONU et faisant la leçon au monde entier à commencer par ses alliés bien maltraités. Le seul élément qui trouve grâce à ses yeux, c'est lui-même et son bilan comme on en a jamais vu jusqu'ici. Mais ce n'est pas réellement une surprise, non, Pierre ? Bah, sur le fond, Nicolas, on connaît en effet ses positions, ses obsessions, devrait-on dire. Mais venir à la tribune des Nations Unies pour dire aux européens qu'ils vont en enfer avec leur politique d'immigration et de lutte contre le changement climatique, c'est quand même inattendu. Il faut être Donald Trump pour dire du haut de la plus grande tribune mondiale que le consensus scientifique sur le climat est une arnaque, que l'accord de Paris sur le climat est bidon, que tout ce qui est vert est en faillite. Une diatribe doublée d'un éloge du charbon et des énergies fossiles et d'une offre d'en vendre au monde entier. On pourrait dissequer point par point ce long discours de VRP. Mais on passerait à côté de l'essentiel, il n'y a plus de leadership américain. Il y a une superpuissance dysfonctionnelle qui suit les obsessions de son dirigeant. Le reste du monde n'en a pas encore totalement pris la mesure. Qu'entendez-vous par là ? Bah, le poids des États-Unis est tel que leurs partenaires offensés ne peuvent juste les ignorer. Ils espèrent toujours un sursaut de bon sens à Washington, que ce soit pour aider l'Ukraine, les dernières déclarations de Donald Trump en reviment de plus le montrent, ou dans les relations commerciales. Emmanuel Macron s'active pour convaincre Donald Trump de se rallier à son initiative de paix, alors que dans son discours, le président américain a repris la position israélienne sur la reconnaissance de la Palestine. En fait, les gouvernements européens n'osent pas franchir le pas d'une opposition plus ferme à cette administration hostile. Ils avalent les coups leuvres comme l'accord commercial de cet été. Ils ne veulent pas voir ce que dénonce un rapport du Conseil européen des relations internationales. Ce signe tant que l'européen, le CFR estime que l'administration Trump mène une guerre culturelle contre l'Europe libérale au profit de ses alliés idéologiques situés à l'extrême droite de l'échiquier. Le rapport encourage les européens à un sursaut de fermeté et de dignité, peut-être que le discours d'hier les aidera à se réveiller. Pierre Assqui, merci.
À l’ONU, Donald Trump proclame aux Européens qu’ils vont « en enfer »
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