
Et si la plus grande force résidait dans le plus doux des murmures ? Plongez au cœur d'un jardin secret où une guerre silencieuse entre deux arbres frères, attisée par des vents manipulateurs, menace d'étouffer toute vie. Suivez le voyage de Luz, une minuscule fleur lumineuse qui, refusant le désespoir, choisit d'écouter le chant oublié de la terre pour ramener l'harmonie. 'Le Murmure contre le Vent' est une fable poétique et apaisante sur le pouvoir de la paix intérieure face au chaos extérieur. Laissez-vous bercer par cette histoire chuchotée, une invitation à la sérénité conçue pour vous accompagner doucement vers le sommeil.
Dans un jardin lointain, deux arbres majestueux, autrefois frères, se livrent une guerre silencieuse attisée par des vents étrangers, menaçant d'étouffer les fleurs fragiles qui cherchent à survivre en écoutant le chant de la terre.
Comment la paix peut-elle refleurir dans un lieu dévasté par un conflit interne nourri par des influences extérieures et l'indifférence du monde ?
Pour arrêter la guerre au Soudan, il faut que les ingérences étrangères cessent
Pour arrêter la guerre au Soudan, il faut que les ingérences étrangères cessent
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La chute d’El Fasher, dans le Darfour, accompagnée de terribles massacres, a fait ressortir la guerre civile au Soudan de l’oubli. Mais au-delà de l’émotion, il faut que cessent les ingérences de puissances de la région, en particulier celle des Émirats arabes unis du côté des miliciens.
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Pour arrêter la guerre au Soudan, il faut que les ingérences étrangères cessent
Pour arrêter la guerre au Soudan, il faut que les ingérences étrangères cessent
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La chute d’El Fasher, dans le Darfour, accompagnée de terribles massacres, a fait ressortir la guerre civile au Soudan de l’oubli. Mais au-delà de l’émotion, il faut que cessent les ingérences de puissances de la région, en particulier celle des Émirats arabes unis du côté des miliciens.
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69 La voix du bas sur France Inter. Bonjour Pierre. Bonjour. Ce matin Pierre, vous revenez sur la guerre civile au Soudan. Il y a une semaine à ce micro, Anne, vous m'aviez demandé pourquoi la guerre civile au Soudan était invisibilisée dans les médias. Ce conflit vieux de 2 ans et demi avait resurgi à la une avec la chute de la ville d'El dans la province du Darfour aux mains d'une milice et des informations faisant état de terribles massacre. Quelques jours plus tard, cette guerre est retombée dans l'oubli sans que les mois de ces quelques instants n'y change grand-chose. Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterrez a estimé que la violence au Soudan dégénère, elle est incontrôlable a-t-il dit. Les témoignages des survivants sont tels que la Cour pénale internationale s'est saisi du dossier et les organisations humanitaires tentent de venir en aide au civil. Mais rien ni personne ne semble pouvoir ou ne semble désireux d'agir réellement pour arrêter cette guerre. Pourquoi cette indifférence ? C'est d'abord le reflet de l'effondrement du système international. L'ONU crie dans le désert sans que personne n'écoute. Il n'y a plus que des réponses humanitaires sauf qu'en Donald Trump estime qu'il a quelque chose à gagner, un émissaire américain a vainement tenté une médiation ces derniers jours. Et c'est vraiment la seule raison ? Alors non et c'est là que cette indifférence devient coupable. Pour arrêter une guerre, il faut déjà stopper les flux d'armes. Autrefois, lorsqu'il existait encore quelques règles, on commençait par décréter un embargo sur les livraisons d'armes au belligérant. Il n'y a plus aujourd'hui d'autorité pour le décider ou encore moins pour le faire respecter. Surtout quand la guerre civile au Soudan a de puissants sponsors. Les forces de soutien rapide, la milice dirigée par Mohamed Hamdan Daglo dit Meti, un homme soupçonné de crime de guerre depuis des années ont pour principal soutien les Émirats arabes unis selon des rapports de l'ONU et des chercheurs indépendants. Ils fournissent des armes, des drones de fabrication chinoise et même des mercenaires colombiens à la milice d'ti. Or les Émirats sont un acteur trop important du Moyen-Orient, partenaire économique majeur de Donald Trump et de la France qui dispose d'une base à Abu Dhabi pour que la moindre pression soit exercée sur eux, on peut condamner les massacres d'El mais le non dit est ce soutien Émirati. Mais ils ne sont pas les seuls à se mêler de cette guerre. D'autres acteurs régionaux sont en effet impliqués Marion comme l'Égypte et l'Arabie Saoudite qui soutiennent l'armée nationale dirigée par le général Abdel Fatah Al, l'autre acteur de la guerre civile. Le monde n'a rien fait quand le général Al, alors allié à Emeti le chef de milice ont renversé la transition civile qui dirigeait le Soudan après des décennies de dictature. Et il n'a rien fait quand ces deux chefs de guerre se sont disputé le pouvoir, plongeant le pays dans la violence à outrance. Mais c'est une chose de laisser faire, c'en est une autre de mettre de mettre de l'huile sur le feu comme le font ces puissances régionales. Il n'y a certes pas beaucoup d'appétit pour des actions collectives dans le contexte actuel, celui des guerres en Ukraine ou au proche-Orient. Mais au moins les pays qui ont un peu d'influence pourraient-ils faire pression pour que les ingérences extérieures cessent? Ce serait le premier pas minimal pour arrêter le calvaire de millions de civils otage de chef de guerre irresponsable. Merci Pierre.
Pour arrêter la guerre au Soudan, il faut que les ingérences étrangères cessent
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