Dans une vallée où une querelle ancestrale a desséché la terre, deux familles ennemies sont contraintes à une trêve fragile, non par désir de paix, mais par crainte d'un souverain lointain. Au milieu des négociations stériles, Lorian, l'idéaliste, et Elara, la cynique, découvrent un secret magique : leur coopération, même silencieuse, a le pouvoir de faire refleurir le jardin qui les sépare.
'Le Pacte Silencieux' est plus qu'une histoire, c'est un murmure pour les nuits agitées. Laissez-vous envelopper par ce conte ASMR poétique et sensoriel, une fable sur l'espoir qui naît dans les gestes les plus simples. Une invitation à calmer votre esprit et à vous laisser guider doucement vers le sommeil.
Dans un jardin desséché par une querelle ancestrale, deux familles ennemies sont contraintes de négocier une trêve fragile, non par désir de paix, mais par crainte de la colère d'un puissant et imprévisible souverain qui les observe depuis ses montagnes lointaines.
La peur d'un pouvoir supérieur peut-elle forcer des ennemis jurés à faire un premier pas vers l'apaisement, même si leurs cœurs restent en guerre ?
Aux négociations sur Gaza, personne ne veut risquer la colère de Donald Trump
Aux négociations sur Gaza, personne ne veut risquer la colère de Donald Trump
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les négociations pour la mise en œuvre du plan Trump pour Gaza s’ouvrent aujourd’hui en Égypte : personne ne veut porter la responsabilité d’un échec, ce qui donne une chance à la première phase, celle du cessez-le-feu et la libération des otages et des prisonniers. La suite est plus complexe.
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Aux négociations sur Gaza, personne ne veut risquer la colère de Donald Trump
Aux négociations sur Gaza, personne ne veut risquer la colère de Donald Trump
durée : 00:03:09 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Les négociations pour la mise en œuvre du plan Trump pour Gaza s’ouvrent aujourd’hui en Égypte : personne ne veut porter la responsabilité d’un échec, ce qui donne une chance à la première phase, celle du cessez-le-feu et la libération des otages et des prisonniers. La suite est plus complexe.
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Piersky, bonjour. Bonjour Nicolas. Géopolitique, vous revenez ce matin sur les négociations sur le cesser le feu à Gaza. La négociation indirecte qui débute aujourd'hui en Égypte a un atout majeur malgré sa difficulté. Aucun des participants, israéliens ou palestiniens, ne voudra être considéré comme responsable d'un échec. La raison est évidente, ne pas encourir la colère d'un Donald Trump qui s'est personnellement investi comme faiseur de paix. Ce facteur psychologique, beaucoup plus que politique, pourrait permettre au moins d'atteindre la première phase du plan Trump, le cesser le feu, la libération des otages israéliens morts ou vivants et celle des prisonniers palestiniens des geôles israéliennes. C'est ce qu'espèrent par-dessus tout les opinions publiques des deux côtés. Il faut bien sûr rester prudent tant que ça n'a pas eu lieu, mais ce premier résultat est à portée de la main. Et ça serait déjà un succès que pourra revendiquer le président américain. La suite sera plus compliquée car elle touche à la partie politique du plan qui a de nombreuses zones de flou et d'incohérence. Et que craignent les négociateurs s'il y a échec ? Alors, il faut élargir la focale Nicolas et placer ses négociations dans leur contexte. Tout a changé lorsque Benjamin Netanyahu a ordonné le mois dernier le bombardement de cibles du Hamas à Doha au Qatar. C'était, nous l'avions dit à l'époque, l'opération militaire de trop. S'en prendre au Qatar qui abrite la plus grande base militaire américaine du Moyen-Orient, où Donald Trump s'est rendu au début de l'année, c'était toucher à un équilibre régional fragile. C'est de surcroix un pays qui a joué un rôle décisif dans les circuits de négociation avec le Hamas. Les pays du Golfe, y compris les Émirats arabes unis qui ont des relations diplomatiques avec Israël, l'ont très mal pris et ils ont communiqué leur colère à leur amis et partenaire en affaire, Donald Trump. La semaine dernière, Trump a forcé Netanyahu à téléphoner à l'émir du Qatar et à s'excuser pour le raid israélien. Trump s'est également porté garant de la sécurité du Qatar, un geste sans précédent qui montre l'importance qu'il accorde à cette relation. C'est la toile de fond du changement d'attitude à Washington. Netanyahu doit en tenir compte et se plier à la volonté du président américain à ce stade en tout cas. Et du côté du Hamas ? Le mouvement islamiste palestinien est lui aussi sous pression, d'abord de la part du Qatar, son principal interlocuteur dans le monde arabe, et de la Turquie d'Erdogan qui soigne leurs relations avec Trump. Le Hamas ne pouvait pas se permettre de refuser en bloc le plan Trump, surtout quand le président américain dit publiquement qu'il soutiendra Israël dans sa guerre à outrance contre le mouvement palestinien s'il s'y oppose. Ce qui vaut pour la première phase ne vaut pas pour la suite. Les deux parties avancent à reculons. Le Hamas ne veut pas désarmer et encore moins disparaître, et la coalition de Netanyahu avec l'extrême droite risque d'imploser si le plan Trump empêche la destruction totale de Gaza. On en est pas là. Pour l'heure, chaque camp fera ce qu'il faut pour ne pas encourir le blâme en espérant que l'autre commette une faute. Si au moins ça permet la libération des otages et l'arrêt du calvaire des 2 millions de civils de Gaza, le monde ne pourra se que s'en féliciter même s'il est difficile d'être optimiste pour la suite, un cesser le feu n'est pas la paix. Piersky, merci.
Aux négociations sur Gaza, personne ne veut risquer la colère de Donald Trump
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