
Dans un royaume éthéré où les îles flottent sur une mer cosmique, un homme puissant a bâti son empire sur la discorde. Mais lorsque sa propre lumière commence à faiblir, il doit entreprendre un voyage intérieur pour redécouvrir le véritable pouvoir de l'harmonie. Laissez-vous bercer par cette fable poétique, une méditation chuchotée sur la force de la connexion, conçue pour apaiser l'esprit et vous guider doucement vers le sommeil.
In a world of shifting tides, a powerful man who built his reign on disruption learns that true strength is not found in creating storms, but in finding the quiet center where harmony can grow.
Can a leader defined by conflict and division find a path to genuine peace and unity, both for his world and within himself?
2025, l’année où Donald Trump a dynamité l’ordre international mais peine à s’imposer
2025, l’année où Donald Trump a dynamité l’ordre international mais peine à s’imposer
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour la première année, Donald Trump a bouleversé l'ordre international, sur la forme et sur le fond, et esquissé une doctrine à laquelle on ne s’attendait pas. Mais il n’a pas eu les succès dont il se vante, et devra gagner l’an prochain les élections de mi-mandat qui seront âprement disputées.
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durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Pour la première année, Donald Trump a bouleversé l'ordre international, sur la forme et sur le fond, et esquissé une doctrine à laquelle on ne s’attendait pas. Mais il n’a pas eu les succès dont il se vante, et devra gagner l’an prochain les élections de mi-mandat qui seront âprement disputées.
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no. 69 Bonjour Pierre. Bonjour Simon. On commence votre bilan de 2025 par Donald Trump. Reconnaissons-le depuis son entrée à la Maison Blanche le 20 janvier, Donald Trump a dominé l'actualité de l'année, tant sur la forme que sur le fond. Pas un jour sans une déclaration ou une sailli du président ou un tweet nocturne qui prendra le reste du monde par surprise au réveil. Une stratégie de l'attention qui a été théorisée. Mais c'est sur le fond que c'est important. Trump a dynamité l'ordre international issu de la Seconde Guerre mondiale. Il a court-circuitté le droit qui régit les États, les relations entre États. Il a changé la mondialisation avec ses droits de douane, fragilisé les alliances comme l'OTAN et les organisations internationales. Il prétend avoir résolu huit guerres, mais sur les deux principales dans lesquelles Washington est impliqué, même sans combattre, l'Ukraine et le conflit israélo-palestinien, il n'a rien résolu du tout. L'une des pires images de l'année restera la science d'humiliation de Volodimir Zelenski dans le bureau Oval en février, avec son antithèse, le tapis rouge pour Vladimir Poutine en Alaska en août. Mais la guerre que Trump promettait de résoudre en 24 heures se poursuivra tant que le président américain n'aura pas admis que Poutine ne veut pas d'un compromis mais d'une victoire totale. Y a-t-il une doctrine Trump ? Alors, elle prend forme, Simon, et ne ressemble pas à ce qu'on imaginait basé sur son premier mandat. Deux exemples. Trump veut éviter les guerres sans fin comme les États-Unis en ont connu, mais il n'hésite pas à utiliser son armée au grand dam de l'aile isolationniste de sa base. Il l'a fait au Yémen, en Iran, en ce moment même au large du Venezuela, et il y a quelques jours en Syrie contre Daesh après les premiers soldats américains tués de l'air Trump. L'armée constitue un instrument de puissance à la disposition de l'exécutif, y compris à l'intérieur du pays. Second exemple, la politique énoncée dans le récent document stratégique américain qui remet au goût du jour la doctrine Monro d'il y a deux siècles vis-à-vis de l'Amérique latine. Les États-Unis sont hégémoniques dans leur hémisphère. Les pressions contre le Venezuela sont là pour le démontrer. Et que peut-on attendre de 2026 ? Alors le principal enjeu pour Donald Trump l'an prochain est double. À l'international, définir sa position vis-à-vis de la Chine, son seul vrai rival au 21e siècle, le seul pays qui a montré en 2025 qu'il peut lui résister. Il se rend à Pékin en avril, un voyage déterminant pour la relation sino-américaine, mais aussi pour le monde. Mais le défi sera aussi domestique avec les élections de mi-mandat en novembre. Donald Trump a enregistré une baisse de popularité depuis son élection, il a perdu tous les scrutins locaux récents. Et les démocrates feront tout pour prendre leur revanche au Congrès. Les handicaps de Trump tiennent en trois mots. Epstein, du nom du milliardaire pédocriminel, dont les photos qui viennent de sortir montrent l'étendue de la connivance avec l'élite américaine, Trump compris. Deuxième mot, affordability, le mot anglais qui décrit le coût de la vie trop cher malgré les démenti du président. Et enfin, division, celle qui fracture le camp Maga, Make America Great Again. Il a 10 mois pour rendre Trump great again, ce n'est pas gagné. Euh, Pierre, merci à demain pour le deuxième épisode de ce bilan géopolitique de 2025, on parlera de Vladimir Poutine.
2025, l’année où Donald Trump a dynamité l’ordre international mais peine à s’imposer
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