Que vous me terrassassiez de votre grand mât
N'a d'égal que l'émoi qu'il me provoquât
Lorsque je m'agenouillai devant votre splendeur
Vous me surprîtes en un geste de satisfaction
Alors que j'eus dû prendre votre corps telle ma faction
Et que j'en vins à en oublier les minutes, les heures
Pour lire le poème au complet : http://lkm696.blogspot.com/2007/02/cupislam.html
Merci à Nina et J. Miamor!